Acorn, le Sadida.

Dans un monde parallèle au nôtre, un monde appelé le Monde des Douze, en raison des douze Dieux qui on contribué a sa création. Le dieu Ecaflip, qui ressemblais un peu a Basteth, Déesse des chat dans l' Égypte ancienne. Il y avait aussi le dieu Xelor, le plus vieux de tout les dieux! Des rumeurs diraient qu'il approcherai les 758 ans ! Ensuite venait le dieu Sadida, le plus flemmard de tous, il passe sont temps a dormir dans les arbres, jouer avec ses poupées et faire pousser des ronces mortelles. Un autre, mais non des moindres, le dieu Crâ et ses flèches acérées, un archer. Huit autres dieux venaient grossir leurs rangs, mais nous les présenteront plus tard. Dans ce monde vivait douze races, reflétant l'image des dieux. Ces derniers avaient légués des pouvoirs, dit innés, a leurs représentants mortels.

Beaucoup d'histoires fantastiques ont bercé, berce et bercerons l'imagination des enfants de ce monde. Des histoires plus ou moins drôles, plus ou moins tragiques.
Je vais vous en conter une ...


Dans la sombre et dangereuse forêt des Abraknydes, un couple de Sadida qui vivait de chasse, de cueillette et surtout de profondes siestes à l'ombre des grands arbres. Ils s'appelaient Kornarn et Sylviana. C'étaient d'anciens grands guerriers des légions Néophyte. Mais le plus important à savoir, c'est que Kornarn était Brâkmarien, au service de Djaul chef des Démons et de la ville de Brâkmar; et Sylviana Bontarienne au service du roi de Bonta : Clustus Sheran Sharm. Ils élevaient en paix leur enfant unique, Acorn qui de jour en jour devenait de plus en plus fort.


Leur histoire est émouvante et l'issue a poussé Acorn à vouloir devenir un Indépendantiste, Clan pas très connu du Monde des douze, que je vais vous expliquer …


Le Clan Indépendantiste est nommé Independia. Dans ce clan, les personnes sont contre les pouvoirs établis. Dans le Monde des Douze, les pouvoirs en place sont tenus les Brakmarien, et les Bontariens, car les Anges et les Démons sont partout dans ce monde, en se battant, l'un contre l'autre, pour faire devenir le clan dominant du monde.
Il y a aussi d'autres Clans dans ce monde : les mercenaires. Ces gens sont au service des habitants du monde, comme aider a faire des combats, se venger face à des personnes qui ont été méchant avec eux, ou réunir des ressources qui leur seront utile.


Tout commença lors d'une quête de Sylviana. Elle devait aller délester quelques gardes de la ville de Brâkmar du poids de leur badge. Elle menait la vie dure à tous les gardes qu'elle trouvait et les tuait sans état d'âme.
Elle se déplaçait aussi discrètement que son corps lui permettait, se maudissant de ne pas avoir de sang sram dans les veines. Au détour d'une ruelle sombre, elle croisa un groupe de gardes. Ni une, ni deux elle se jeta sur eux et, les toisant d'un regard noir, sortit son bâton d'un air menaçant.
Passant dans le quartier des Paysans, Kornarn entendit un raffut monstre. Il alla donc voir ce qui se passait et tomba nez à nez avec Sylviana et les gardes complètement apeurés. N'écoutant que son courage, il se joignit aux gardes qui ne purent s'empêcher de montrer leur joie d'être soutenus par un aussi puissant guerrier que lui. Le combat promettait d'être beau. Dès le début, les gardes furent écrasés par la puissance des deux guerriers et ne purent que regarder en tenant leurs yeux grands ouverts, le combat de titans qui se déroulait devant eux. Le combat dura cinq heures. Cinq heures durant lesquelles Kornarn et Sylviana donnèrent au Quartier des Paysans le plus grand combat jamais vu dans l'enceinte d'une des Deux Villes. Au bout de ces cinq longues heures, la bataille prit fin. En effet, se rendant compte que jamais l'un des deux n'aurait le dessus sur l'autre, ils baissèrent les armes. Se regardant longuement dans les yeux, essoufflés par le combat, ils ne pouvaient s'empêcher d'admirer l'autre. L'autre, celui qui avait réussi à lui tenir tête pendant tout ce temps. Kornarn s'approcha de Sylviana qui, profitant de ce court répit, sortit une fiole de potion de son pagne et la but à toute vitesse. A peine eut-elle fini la dernière goutte de la potion qu'elle disparut sous les yeux attristés de Kornarn. Il resta un moment sans bouger, à regarder la où se tenait son adversaire quelques secondes plus tôt. Puis, tendit sa main et regarda d'un air pensif le parchemin magique qui lui permettrait de retrouver celle qui avait fait battre son coeur et fait couler sa sueur sur son dos poilu. Pendant ce temps, Sylviana réapparut non loin du puis de la milice de Bonta...


Deux ans s'écoulèrent, Kornarn avait gardé précieusement le parchemin dans le coffre de sa maison. Sylviana de son coté, pensait régulièrement au beau combattant brun du quartier des Paysans...
Un jour, Kornarn décida de partir en quête de sa belle et sortit de son coffre le fameux parchemin qu'il avait utilisé lors de leur combat. Il enleva la poussière que deux années avaient déposée dessus. Il prononça alors une incantation et une Lumière fila devant ses yeux dessinant un trait lumineux. Il prit ses affaires et partit dans la nuit à la suite de la Lumière.
Sylviana, pendant ce temps décida d'aller combattre l'oppression démoniaque qui régnait à la Haute Montagne des Craqueleurs. Arrivée au Zaap, elle fut en proie à une grande inquiétude : qui l'avait liée? Qui se trouvait de l'autre coté de la Lumière qui l'avait suivi depuis Bonta jusqu'ici?

Dans l'après-midi du jour suivant, Kornarn arriva près de la grotte où Sylviana faisait sa sieste. Il s'approcha d'elle discrètement et lui passa la main dans ses cheveux. Sylviana se réveilla en sursaut et se leva d'un bond tout en sortant son bâton. Kornarn leva les main et dit : "Je voulais juste vous revoir...". Sylviana le reconnut et baissa lentement son arme en voyant dans ses yeux qu'il était sincère. Il s'assirent et discutèrent longuement.

Un jour passa, puis deux, puis une semaine... Ils ne voulaient plus se quitter pour aller combattre un ennemi qui finalement pouvait se montrer d'une compagnie très agréable, et décidèrent d'aller fonder leur famille au secret, cachés dans la forêt.

Mais malheureusement, quand on est un grand guerrier, cela se remarque vite quand on manque à l'appel...

Dans chacune des Deux Villes, on organisa des recherches pour retrouver les deux soldats disparus. De grandes expéditions partirent et bientôt, tout le monde des Douze fut occupé par les deux clans qui se menaient une lutte de territoires sans merci.


Il fallut encore sept années aux Légions Néophyte pour trouver par hasard la cabane où vivait les déserteurs. Mais cette phalange ne comptait qu'une demi-douzaine de Bontais, fatigués de parcourir le Monde des Douze. Le combat fut rapide. En un rien de temps, le petit groupe de soldat fut écrasé. Un seul réussit à s'enfuir en courant dans tout les sens dans la forêt.
Redoutant l'arrivée d'une grande troupe de guerriers, la petite famille sadida décida de s'enfuir par delà les montagnes, vers la région des Lacs Enchantés. Mais cet fois, sur leur chemin se dressait une troupe de quatre-vingt Brâkmarois. Les deux amants se regardèrent et sortirent leurs armes. Cette bataille s'annonçait plus coriace que la précédente. Aux premiers sorts de Kornarn et Sylviana, une petite partie des soldats tombèrent. Mais ils savaient qu'ils ne pourraient pas gagner ce combat. Kornarn dit alors :

"- Sylviana, prend le petit et enfuis toi a travers les grandes montagnes, là-bas! Je les retiendrai le plus longtemps possible...
- Je ne te laisserais pas seul!
- Part, ma bien-aimée, et prends soin de notre enfant...
- Non!...
- Dépêche toi! Profite du répit que je peux te donner!
- Je ne t'oublierais jamais Ô Kornarn, guerrier de mon coeur..."

A peine eut-elle fini sa phrase qu'un des soldats brandit sa lance et tenta de frapper Kornarn à la tête. Il réussit à dévier l'attaque au dernier moment et lui assena un coup de bâton dans les côtes, lui coupant le souffle net.
Après un dernier regard vers son mari, Sylviana parti en courant à travers les bois en direction de la montagne, Acorn fermement attaché sur son dos. Elle entendit encore un moment les cris de la bataille qui allait tuer son mari. Les larmes au yeux, et le souffle coupé, elle s'arrêta au pied d'un arbre et s'appuya un moment dessus en sanglotant... Un cri de victoire la fit reprendre ses esprits et regardant en arrière, elle vit trois soldats lancés à sa poursuite. En temps normal, elle aurait put facilement leur tenir tête ou s'enfuir suffisamment vite, mais elle était fatigué, et déjà moralement vaincue... En toute hâte, elle cacha son fils dans les branches du grand châtaignier à coté d'elle, *L'arbre préféré de Kornarn* pensa t-elle. Puis, faisant face aux soldats, elle sorti son bâton et, en larme, se déchaîna sur ses assaillants en une rage folle. Elle parvint à les vaincre, mais, succombant à la fatigue et au chagrin, elle s'effondra.


Du haut de l'arbre, Acorn suivit tout le combat. Sursautant à chaque coup que sa mère portait a l'ennemi. Quand le dernier soldat fut tombé, il tenta de descendre de l'arbre pour se jeter dans les bras de sa mère. Mais il fut stoppé net quand il la vit tomber à son tour.

" - MAMAANNNN!! "

Son cri fut entendu à plusieurs lieux, faisant s'envoler les oiseaux et lever la tête à tous les animaux de la profonde forêt. Attiré par ses cris, un Guerrier Crâ, camouflé quelques mètres plus loin s'approcha discrètement. Acorn entendit son pas léger et saisi le bâton de sa mère. Il se retourna d'un coup et frappa l'homme qui s'approchait. Son coup n'eut aucun effet, et le Crâ lui dit d'un air triste :

" - Je sais que tu dois être triste suite à la mort de ta mère, petit, mais sache que tu ne devrais pas attaquer quelqu'un sans connaître ses intentions, qui plus est, avec une arme qui réclame une trop grande puissance pour toi...
- De quoi parlez vous ? Quelle puissance?
- Certaines armes demandent une puissance énorme pour pouvoir juste taper avec. Le bâton que tu tiens en fait partie. Il appartenait à ta mère n'est-ce pas?
- Oui...
- Elle devait être très puissante. Ce bâton est du cercle de puissance 190...
- C'est beaucoup?
- Je ne suis que du cercle de puissance 110. 190 c'est effectivement beaucoup.
- Aidez-moi à devenir plus fort! Je veux venger mes parents!
- Humm...Soit. Je t'aiderai dans la mesure de mes capacités...Pour cela il faudra t'entraîner beaucoup et combattre des monstres de plus en plus coriaces.
- Je suis prêt à me battre!
- Je n'en doute pas, mais avec quoi compte tu te battre? Avec tes poings? Ne soit pas si impatient. Je te donne ce bâton. Prend en soin, il te sera utile lors de tes combats et plus tard, quand tu aura ramassé assez de ressources sur les bêtes que tu tueras, je te confectionnerai des équipements.
*En prenant le bâton des mains du Crâ*
- Merci beaucoup...Monsieur.
- Appel moi Rethh. Rethh Horik...
- Moi je suis Acorn, fils de Sylviana et Kornarn.
- Allons-y Acorn, un long chemin nous attend..."

Il sortit alors une fiole de sa poche et serra le petit Sadida contre lui contre lui.

" - Tu vas ressentir une petite secousse ne t'inquiète pas... "

Rethh bu alors la fiole et ils se téléportèrent à coté d'un Zaap. Acorn n'avait jamais vu autant de monde! Tout le monde parlait plus fort que l'autre, criant et vociférant, mais personne ne s'écoutait. Chacun voulait vendre des ressources ou acheter un Kod'odio.

" - Bienvenue à Astrub! C’est un petit village où tu pourras venir acheter tout se dont tu as besoin. Mais fait attention aux filous, ce n'est pas parce qu'il y a beaucoup de jeunes puissances, que personne n'est tenté de les voler.
- Comprit, Rethh...
- Avant que nous partions j'aimerais aller m'entretenir avec des amis à moi... Je n'en aurai pas pour longtemps. Tu peux venir avec moi si tu veux.
- Je vous suis, je ne me sens pas à l'aise avec tout ces gens...
- Je comprend ça, " Dit Rethh en souriant," Tu dois être un peu dépaysé de ta forêt! "

Ils partirent vers le nord, mais moins longtemps que Acorn ne le pensait. Ils s'arrêtèrent devant une maison surveillée par l'oeil attentif d'un gardien qui salua Rethh chaleureusement.

" - Ici," expliqua Rethh à Arcorn, " C'est la maison de mon Maître, il m'a appris tout ce que je sais. Et nous avons passé un pacte en cas d'apprentisssage. Il doit d'abord voir si tu es digne de recevoir ses enseignements a travers moi.
- Vous voulez faire de moi votre apprenti ?" s'étonna Acorn "

" - Nous allons commencer ton entraînement. Tu vas combattre le groupe de Pious qu'il y a las-bas. Utilise tes sorts innés. Tu sais comment faire?
- Oui, je me suis entraîné avec mon papa déjà. On se battait l'un contre l'autre et il m'a apprit à invoquer des Poupées et faire pousser des Ronces.
- Très bien, ce sera ça de moins à t'apprendre. Vas-y et n'oublies pas de les fouiller à la fin."

Acorn engagea donc son premier vrai combat sous l'oeil confiant de Rethh. Il se débrouillait bien, et déjà, les Pious tombèrent au sol. Acorn se pencha alors sur les cadavres et récupéra quelques Kamas, monnaie en vigueur dans le Monde des Douzes, et trois plumes, une verte et deux jaunes. Fier de lui, il les brandit sous le nez de Rethh qui souria.

" - Bravo! Je vois que tu es assez fort pour aller te battre contre des bêtes plus coriaces. Je vais t'emmener dans un coin où les oiseaux que tu combattras seront non plus des Pious mais des Tofus. Fait bien attention de rester a la limite de leur portée : ils se déplacent vite et loin en un rien de temps.

- D'accord!" Dit Acorn, heureux de son résultat contre les Pious.

Ils partirent cette fois vers le sud, traversant la ville agitée d'Astrub. Ils repassèrent devant le Zaap, où les gens étaient toujours aussi agités et bruyants. Acorn ne pu s'empêcher de mettre les mains sur ses oreilles, talonnant de près Rethh.

Ils passèrent ensuite devant le petit Hôtel de Vente des Alchimistes, puis celui des Ressources. Acorn s'arrêta devant un grand Bâtiment et demanda à Rethh ce que c'était. Rethh lui répondit :

" - C'est la banque d'Astrub, si tu décides de vendre des ressources en Hôtel de Vente, les kamas que tu gagneras arriverons directement sur ton compte.
- C'est pratique... répondit Acorn pensivement."

Arrivé à la sortie Sud d'Astrub, Rethh aggripa Acorn par le bras et lui faire un bond en arrière juste à temps pour l'écarter du Bontais qui venait de se faire agresser par un Brâkmarois.

" - Fait attention a toi ! Voilà les Clans que nous n'aimons pas. Ils se battent partout, et si d'autres indépendantistes étaient dans le coin, nous nous serions lancé dans un combat qui serait funeste pour eux..."


Rethh commença l'entraînement sérieux d'Acorn, et quelques semaines plus tard, Acorn atteignait déjà le Cercle de Puissance 75... Rethh était fière de lui et était devenu comme son père.
Un jour, Rethh, pensant Acorn prêt a devenir Disciple Indépendantiste , lui demanda :

" - Acorn, aujourd'hui cela fait six semaines que je t'ai emmené au siège de la Communauté Idependia...Et dans six autres, tu auras fini ta formation. Je t'ai dit que si tu te sentais prêt au bout de cette période, je t'y emmènerai et tu y ferais tes voeux pour faire partit de la Communauté.
- Je suis déjà prêt, Rethh.
- Cela n'est pas a toi de décider si tu es prêt ou pas. Tu dois être en harmonie avec tes sentiments et être serein dans toutes les situations. Pour cela, tu dois partir. Seul. Loin des villes et des gens. Tu devras rester dans la nature pendant six semaines et survivre. Dans six semaines, je t'attendrai devant le siège de la Communauté. Maintenant va. Prend ces quelques potions. Elles te seront utiles quand tu te sentiras fatigué ou que tu es blessé.
- Bien. Je reviendrai dans six semaines Rethh, jour pour jour. Plus puissant et mieux équipé que je ne l'aurai jamais été. "

Sur ces mots, Rethh le pris dans ses bras et lui murmura à l'oreille :

" - Bonne chance, mon ami..."

Et Acorn parti vers sa forêt natale. On ne le revit plus. Tous les jours, Rethh se surprit à observer l'Orée de la Forêt des Abraknyde, espérant apercevoir son élève. Mais Acorn avait pris la consigne au sérieux et s'était enfoncé au plus profond de la forêt.

Six semaines après le départ de Acorn, Rethh l'attendait devant le siège, comme promis. Ce fut en fin de matinée qu'Acorn fit son apparition. Rethh était bouche bée : l'élève qu'il avait envoyé dans la forêt six semaines auparavant lui revenait, dégageant une grande puissance. Quand il aperçu Rethh, il avança doucement vers lui en lui disant :

" - Rethh... Je suis fin prêt.
- Oui, je le crois aussi... Tu dégage une grande puissance, laisse moi t'examiner.
- Je suis désormais du Cercle de Puissance 118, Maître Alchimiste et apprenti Bûcheron. Je me suis confectionné des équipements avec des écorces, des bourgeons et des racines récoltés sur toutes sortes d'Abraknydes.
- Je n'en attendais pas moins de ta part, tu étais un élève prometteur. Mais maintenant, ce sont les Grands Maîtres Independias que tu devras convaincre.
- Oui, je le sais. Mais je suis prêt."

Rethh était heureux de la confiance qu'Acorn avait, il le conduisit jusqu'à la porte de la maison, gardé par le même garde qui les salua.
Il entrèrent dans la maison, et se dirigèrent vers le Tapis.

" - Bienvenue au conseil des Grands Maîtres, Acorn. Comme Maître Rethh a du te le dire, avant d'être accepté dans la Communauté, tu dois nous dire pourquoi tu veux devenir Independia.
- Grands Maîtres, je voudrais tout d'abord vous remercier pour l'importance que vous avez bien voulu consacrer à ma personne. Ensuite, je voudrais remercier Maître Rethh Horik, sans qui je serai sûrement déjà mort, dans la forêt avec mes parents.

*Acorn salua Rethh de la tête, qui lui envoya un clin d'oeil*

" - Je voudrai devenir Independia pour pouvoir aider mon prochain, et venger les injustices. Protéger les personnes innocentes des Légions Néophyte. Leur donner le pouvoir de se venger ou de venger leurs ancêtres... Pouvoir aider les gens qui, comme moi, on perdu leurs parents. Suivre le même chemin que Rethh Horik, mon mentor, mon frère d'arme, mon ami...

Un court silence suivit les paroles de Acorn et un Grand Maître pris la parole :

" - Nous allons maintenant nous retirer pour voter... Nous te donnerons une réponse dès que possible..."

Ils montèrent à l'étage, laissant Acorn seul avec Rethh qui s'approcha et posa la main sur son épaule.

" - C'était bien. Laissons leur maintenant le temps de réfléchir et allons parler de tes six semaines dans la forêt... Tu dois avoir pleins de choses à me raconter, allons discuter de tout ça autour d'une bonne bière à la taverne."

Ils partirent en direction de la taverne, discutant joyeusement, heureux de se retrouver... En attendant la réponse du Conseil...